In The Suppression of Vertical Videos, James Watt makes the case for Vertical Videos and argue that YouTube should be blamed instead of people shooting Vertical Videos. Continue reading
Category Archives: Rants
I am finally ditching Feedburner
I never really had a use for the thing, it’s not working anyway and with the trend of closing Google services it’s not going to be there too long either. So I am reclaiming my feeds. Continue reading
I am not a dog person
And when I say I am not a dog person, I mean I don’t like dogs. They are dirty, messy, needy, stupid and take too much space. Or may be I don’t like them because one attacked me when I was twelve and bit my face. Continue reading
Fair warning to my Facebook friends
Last year I started to grow concerns about my privacy on Facebook. Not because of another change in Facebook privacy settings or a hack of any kind but because I started to realize that the biggest threat to my online privacy are my friends themselves. Continue reading
Image Credits: John Goodridge
What’s your problem, exactly?
When you have a problem with your car and you go to the garage you usually say something along the line of “I’ve got a strange noise when I do this or that”. The guy (or, in my dreams, the gal) never say “I don’t understand, come back later with a better description of your problem”.
To my fellow developers: this is the same when a user comes to you with a bug. Believe me, there’s no such thing as an under-specified bug.
There’s a rampant habit among developers for being condescendant and asking for precisely specified bug reports. I know it, I do it as well. Developers have a lot of reason to do that, but mostly it’s because we think we are smarter than average (which is true, most of the time) and you don’t deserve our attention if you’re too stupid to understand the way we work. The other thing is that we don’t like bugs, and one way to avoid bugs is to make it difficult to report them.
When a user (or client, which is worse) take the time to come  to you and say there’s a problem with your software, take their word for granted. Even if it’s not a technical bug it can be a documentation or an education bug. Make sure it’s easy and worthwhile for them to report that bug because, before all, it’s in your own interest.
Reporting a bug must be a conversation. I mean, you would go to another garage if the guy was condescendant, disrespectful or was simply oblivious, wouldn’t you?
Image Credits: Rich Nacmias
Spare me the talk about privacy, they’re all clueless anyway…
With all the talks and posts and whatnot about privacy on the Internet it’s easy for anyone to turn into a privacy control freak.
And I really was starting to freak out myself. After all, a good bunch of my own life is on the Net: Facebook, Twitter, Flickr, LinkedIn, this blog, all the Google applications and all the other services I use, or I test… But this morning I received a letter, not an e-mail, a paper letter. From Google AdWords. Sent from France. In German!
I guess they just assumed that since I was living in Switzerland I was talking German, like when ebay.com redirects me to ebay.de, but I don’t speak nor read German.
And it reminded me something I learned a long time ago, when I was working for Singularis – a now defunct start-up that was collecting users preferences about TV programs: You can collect as many data as you want, if you don’t know how to use it it’s only worth the cost of the storage.
And the more you have the harder it is.
Image Credits: Michell Zappa
Sévices Après Vente
Dans un monde chaque jour un peu plus numérisé n’oublions pas que ce sont toujours les même vieux trucs qui fonctionnent: si vis pacem, para bellum!
!!Attention!! Ce billet est long et ennuyeux…
Ceux qui me suivent sur Twitter ou Facebook se souviendront qu’en novembre dernier (le vendredi 13 exactement) mon appartement avait été cambriolé pendant que j’étais chez le dentiste (ça fais beaucoup pour un vendredi 13). Parmi les objets qui m’avaient été volés se trouvait mon MacBook Pro, qui est mon seul et unique outil de travail.
J’avais donc rapidement besoin d’une nouvelle machine. Après avoir fait le tour des revendeurs Apple de la région pour découvrir que seules des configurations de base étaient en stock, je me rend, sans grand espoir, à la FNAC de Lausanne.
Je n’achète jamais de matériel électronique de ce prix à la FNAC – en dessous de 200,-CHF le rapport prix/rapidité de l’achat est assez favorable pour que je ne cherche pas plus loin mais au-delà j’ai toujours pu trouver moins cher ailleurs. Mais, ce samedi 14, je découvre avec bonheur que la FNAC possède en stock un MacBook Pro dont la configuration approche de très prés la configuration que je recherche: 15″, 3.06GHZ, 4Go de RAM et un disque dur de 500Go à 7200 tr/mn. Je l’achète donc, pour le prix de 3299,-CHF (moins le rabais adhérents).
Le 29 décembre dernier (un mois et demi plus tard), en allant me coucher, je décide de laisser mon MacBook allumé sur la table du salon afin qu’il puisse participer au réseau BOINC et dédier quelques cycles à la recherche extra-terrestre. Je n’ai pas d’animaux, pas d’enfants et la machine est posée sur un endroit dégagé où la ventilation n’est pas obstruée.
Le lendemain matin, ayant pris mon petit déjeuner, je m’en vais consulter mes e-mails. Étrangement, alors qu’une simple caresse suffit d’habitude, mon Mac ne veut pas se réveiller. Étonné, je vérifie que je ne l’ai pas laissé sans alimentation: non, le cordon est bien là , branché et alimenté, il ne s’agit donc pas d’un épuisement des batteries. De plus, un ronron très léger m’indique que la machine semble toujours être en marche. Je force donc un shutdown en maintenant la touche on/off enfoncée et j’entends distinctement ce petit bruit caractéristique qui signale l’arrêt d’un moteur électrique quelque part dans la machine. Je l’allume de nouveau et là un bruit de moteur se fait également entendre mais à par cela rien, l’écran reste désespérément aveugle. Après une ou deux autres tentatives aussi infructueuses je décide d’amener la machine au SAV de la FNAC.
Jus d’Orange ou citron pressé?
Hier matin je reçois un appel d’un opérateur d’Orange au sujet de mon abonnement de téléphonie mobile. Je n’ai rien demandé et en plus je suis à Londres (donc ça va me coûter un bras en roaming) mais je reste poli.
La personne, très aimable, me propose de changer mon abonnement (Optima) pour prendre Maxima et me vante les mérites de la tarification, des SMS gratuits, etc.
Problème! Maxima c’est 89 CHF par mois, mais avec mon abonnement actuel je dépasse rarement les 90 CHF. J’en informe donc mon interlocuteur qui, visiblement gêné, me répond qu’il n’a pas accès à mon historique de facturation. Je le remercie donc poliment et mets fin à la conversation.
Non seulement c’est pénible de recevoir des appels non sollicités mais en plus, quand le niveau du marketing tombe aussi bas, on frise le désespoir!
Mon rêve ce serait qu’un jour on m’appelle pour me dire: “Monsieur, nous avons recalculé vos factures des derniers six mois avec notre nouvelle tarification et vous auriez pu économiser 100 CHF. D’ailleurs, si vous changez dès maintenant, nous vous appliquerons ce nouveau tarif rétroactivement”.
Ils devraient lire Seth Godin chez Orange…
Image Credits: Niklas Morberg
Passa Bene manque de mémoire!
Si vous habitez en Suisse vous devez connaitre “Passa Bene”, c’est le nom du système de la Coop qui permet d’eviter d’avoir à vider son caddie sur le tapis roulant de la caissière et de passer à la caisse en moins de 5mn, même s’il est rempli à ras-bord (enfin sauf quand le système décide de vous controller).
Je trouve que c’est plutôt une bonne idée et je l’utilise depuis qu’il a été mis en place, néanmoins, à chaque fois que je présente ma carte afin d’obtenir l’accés à un lecteur de code barre, je suis confronté à la même frustration, encore et encore…
En effet, la procédure normale pour accéder à un lecteur est la suivante:
- Présenter sa carte devant le lecteur de carte
- Choisir sa langue sur l’écran
- Aller chercher son lecteur (c’est celui qui clignote)
Est-ce que vous voyez le problème?
Cela fait 1 an et demi au moins que j’utilise le système, presque une fois par semaine. Sachant que je suis identifié de manière unique par ma carte, comment ce fait-il que je doive indiquer à chaque fois quelle langue je souhaite utiliser?
Monsieur Coop, si vous me lisez, vous enregistrez quelque part tous les trucs que j’achète (ce qui vous permet de savoir que je ne suis fidèle à aucune marque à part mon jus d’orange et mon dentifrice). Est-ce que vous pourriez resever quelques bits (2 suffisent) afin de pouvoir vous rappeler de la langue dans laquelle je prefère lire la phrase “Veuillez prendre l’apareil qui clignote”? Merci d’avance…